Les techniques

Les techniques passives :

La dénomination « passive » se justifie par la position assise ou allongée, les yeux fermés et le silence de la personne accompagnée durant les séances utilisant ces techniques.

 

La sophronisation de base :

Base même des techniques passive, la sophronisation de base est l’accompagnement par la voix d’une personne en position passive. Cette pratique de base trouve sa place entre autres dans la sophro-stimulation du positif (induction de pensées positives) ou dans la stimulation du schéma corporel.

 

Le sophro-déplacement du négatif :

Dans cette technique, une personne apprend à « déplacer » un élément mental ou physique qui est négatif pour elle (déplacement d’une pensée négative ou d’une douleur vers l’extérieur du corps).

 

La sophro-substitution sensorielle :

La personne accompagnée apprendre par cette technique à « substituer » une sensation par une autre plus positive pour elle (chaud, froid, picotements, douceur...). Particulièrement appropriée à la gestion de la douleur, cette technique est utilisée en chirurgie ou en dentisterie.

 

Les techniques dynamiques ou RDC (Relaxation Dynamique Caycédienne)

Il existe 12 degrés de RDC

Le terme « dynamique » signifie que ces exercices sont basés sur des mouvements corporels effectués en adéquation avec les mouvements respiratoires. Les techniques sont nombreuses, elles se pratiquent en position debout ou assis. (ex : Exercice du coup de point, barattage du ventre...).

 

Deux types de pratiques : individuelle ou en groupe

 

La pratique de groupe :

Elle prendre plutôt la forme d’ateliers à thème dans lesquels les participants ont des objectifs d’entraînement assez proches (Développement du schéma corporel, gestion du stress, préparation d’examens, migraines, maladies cardio-vasculaires, problèmes dermatologiques...)

 

La pratique individuelle :

Les objectifs peuvent être les mêmes que pendant les séances de groupes mais plus spécifiques à la personne accompagnée. Le sophrologue peut, pendant une séance individuelle, susciter un échange verbal avec la personne pendant la séance sur ce qui se passe pour elle. Cette pratique est donc plus ciblée et plus interactive.

 

La phéno-description :

Au terme de chaque séance, individuelle ou collective, il est pris un temps où chacun peut exprimer son vécu de la séance ou de l’exercice en termes de phénomènes observés, sans interprétation ni jugement. Cette phéno-description, littéralement description de phénomènes a pour but d’exprimer par des mots, des dessins, de la peinture, de la sculpture, ... le vécu d’une expérience pour que celle-ci soit « intégrée » par la personne.